samedi 10 décembre 2011

Photos Wall, street

        La
        violence
        est
        là
        ...

        Ce mur
        ...







Comment est ce possible ?
       Comment?





Les murs de votre maison vous protègent ils?

De qui ?...









Et ceux de la prison d'à côté?
...
De qui a t-on peur au fond ?...










..Et pour renter chez vous, il y a t-il des barrières ?






Ici la peur fait un mur et le mur fait frontière.
Horizon...

5 commentaires:

  1. Difficile à interpréter le sourire de cette femme sur ce tag. Que veut-il dire? Bienvenue? On vous a bien eu? Comment peut-on sourire ainsi, une kalachnikov à la main? Et plus bas, ces portraits d'enfants? Qui sont-ils? Des disparus? Des enfants soldats? Eclaire-moi Valou. Tout cela semble si étrange, si loin de nos repères, de nos codes de communication.

    RépondreSupprimer
  2. Nos regards sont les premiers murs qui nous emmurent ou qui nous ouvrent aux autres. La parole en est l'ouverture.

    RépondreSupprimer
  3. vue sur le mur, cote occupe13 décembre 2011 à 08:44

    Chut... ca pousse!
    A peine a-t-on le temps de le voir grandir qu'il est deja la, et c'est nous qui sommes a ses pieds.
    Depuis ma maison est un amas de pierres et de mobiliers, fracasses.
    Mon olivier est mort, calcine, deracine.
    Notre destin ainsi est lie.
    Le mur vit de l'agonie de ce qu'il ettoufe.
    Mais moi, je veux vivre, et sa couleur grise comme l'horizon menacant, grise mon quotidient.
    Alors j'ecris sur ton mur de la honte pour en faire mur d'expression, pour moi et les miens.
    Je n'ai pas attendu Bansky* et d'autre pour peindre des handala* et des portraits de mes amis fait martyrs.
    Il y a aussi celui de Leila Khaled*, heroine pour nous, terroriste pour les createurs du mur.
    Aujourd'hui nous avons laisse sa kalashnikov de cote, gardant son sourire comme espoir, souhaitant qu'il traverse le mur car trop peu de chose le peuvent.
    En attendant que le mur chute...

    RépondreSupprimer
  4. Un sourire qui traverserai un mur... Quelle belle image ! Je pense au personnage de Marcel Aymé dans sa nouvelle "le passe-muraille" : "un excellent homme nommé Dutilleul qui possédait le don singulier de passer à travers les murs sans en être incommodé". Quand on sait qu'Aimé parlait à mots couverts de l'oppression ressentie sous l'occupation allemande et que cette oppression a particulièrement touché le peuple juif !!! On aurait pu espérer que ce peuple ait à coeur de ne pas bâtir d'autres murs, d'autres oppressions... L'humain est parfois désespérant de bêtise. Si seulement tous les palestiniens pouvaient s'appeler Dutilleul !

    RépondreSupprimer
  5. Mmmmhhh... oui, si l'humain pouvait se centrer sur ce qu'il a a partager plutot que sur ses peurs..
    Mais ce n'est pas le peuple juif qui a construit ce mur , l'amalgame est trop dangeureux, c'est l'etat sioniste d'Israel

    RépondreSupprimer